Métiers dans les langues : 10 idées de carrières passionnantes
Les langues étrangères sont de véritables passeports pour un emploi international en France ou à l'étranger. D'innombrables secteurs ont en effet recours à ces professionnels dans l'art de la traduction et des subtilités linguistiques qu'aucun logiciel AI ne peut maîtriser. Vous trouverez votre vocation en découvrant les 10 métiers dans les langues dans le secteur de votre choix.
Quel métier exercer quand on parle plusieurs langues ? Le tourisme, le monde des affaires, l'hôtellerie, l'enseignement, la formation, le commercial et bien d'autres secteurs d'activité ne connaissent pas de frontières. Aussi, la maîtrise d'une langue étrangère constitue un atout pour décrocher un emploi dans ces secteurs d'activité.
Pour certaines professions, la connaissance d'autres langues est une condition incontournable. Ces métiers sont autant d'opportunités pour des carrières exaltantes, y compris dans le cadre d'une reconversion professionnelle. Parmi les métiers dans les langues qui recrutent, découvrez celui qui vous correspond :
- Enseignant.e
- Traducteur.trice
- Interprète
- Guide conférencier.ère
- Doubleur de voix
- Concierge en hôtel
- Chef.fe d'escale
- Agent de réservation
- Responsable déplacement - travel manager
- Commercial export
Votre instinct et votre passion vous guideront vers le métier avec les langues où vous pourrez vous épanouir. Il faudra au préalable convaincre votre futur employeur à l'aide d'un CV parfait rédigé dans une langue étrangère. Ceci fait, vous n'aurez plus qu'à vous inspirer des conseils de nos experts pour préparer le futur entretien d'embauche dans une langue étrangère.
Je postule aux dernières opportunités dans les langues :
1. Enseignant.e
L'enseignement d'une langue, qu'elle soit étrangère ou natale, va bien au-delà du transfert de connaissances linguistiques ; c'est une véritable affaire de passion. En effet, enseigner une langue, c'est se faire l'ambassadeur.drice d'une culture, d'une histoire, d'un mode de vie.
La profession d'enseignant d'une langue étrangère peut-être exercée dans un établissement d'enseignement privé ou public, dans une association, en France ou à l'étranger. Les opportunités d'emploi sont donc légion.
Compétences et tâches de l’enseignant.e
Le candidat à ce métier dans les langues doit disposer d'un savoir technique - la maîtrise de la langue - et de qualités personnelles indispensables telles que la patience, la pédagogie, le travail en équipe et l'art de la diplomatie.
Un enseignant en langue étrangère doit :
- Préparer un curriculum adapté au niveau des élèves, des étudiants ou des clients ;
- Concevoir les cours en fonction des niveaux des étudiants ;
- Créer des exercices et des supports pédagogiques pour maintenir l'attention des étudiants ;
- Suivre le développement des étudiants dans leurs apprentissages ;
- Réaliser des recherches pour maintenir le programme d'enseignement à niveau ;
Les candidats passionnés par l'enseignement n'hésiteront pas pour choisir quel métier exercer quand on parle plusieurs langues. Il existe mille-et-une manières d'enseigner une langue étrangère. Ce métier s'exerce dans le cadre d'un CDI, d'un CDD ou encore durant la retraite. A vous d'imaginer le métier tel que vous le concevez.
Comment devenir professeur de langues étrangères ?
Comment devenir enseignant ? Les critères varient de manière importante, car ils dépendent du type d'employeur et du statut de l'enseignant : contractuel, salarié, fonctionnaire. Pour enseigner en établissement privé ou public, le candidat doit disposer du CAPES, du CAPET, du CAPLP ou d'un doctorat ; d'autres critères prévalent, notamment pour enseigner dans le monde associatif ou à l'étranger.
Le salaire des enseignants en langues
Pour cette raison, définir le montant du salaire pour ces métiers d'enseignant des langues étrangères est difficile. Dans la fonction publique, le traitement de l'enseignant est fixé par une grille indiciaire ; dans le secteur privé, cela relève de la politique salariale de l'employeur ; dans le monde associatif, le salaire varie en fonction du nombre de prestations. De manière générale, le salaire annuel médian d'un enseignant se monte à 22.600 euros bruts.
2. Traducteur.trice
Cet autre métier dans les langues comporte autant de variations qu'il y a de langues parlées. En effet, il peut être exercé auprès d'une maison d'édition, d'organismes de presse, dans les secteurs de l'audiovisuel, du droit, du commerce ou sur les réseaux sociaux.
Malgré l'existence de logiciels de traduction, ces professionnels n'en demeurent pas moins indispensables. En effet, la signification d'un mot dépend autant de son sens littéral que du contexte et des subtilités culturelles.
Que fait un.e traducteur.trice ?
Les tâches d'un traducteur sont complexes ; elles comprennent :
- L'analyse du texte et la prise en compte du contexte ;
- De fréquents échanges avec l'auteur du document lorsque cela est possible ;
- La consultation de professionnels et d'experts lorsque les textes comportent des termes techniques ;
- L'intégration de données liées à la culture du pays ;
- La compilation de différents documents issus de précédentes traductions ;
- L'adaptation au style de l'auteur.
Les formations souhaitées en traduction
Ce métier dans les langues fait partie de ceux pour qui la maîtrise d'au moins 2 langues étrangères est souhaitée. En fonction de la spécialité exercée, un diplôme Bac +5 en traduction éditoriale ou littéraire est parfois nécessaire. A défaut, une formation dispensée par une école ou un institut spécialisé dans la traduction peut suffire. Ces exigences satisfaites, il ne reste plus qu'à préparer le futur entretien d'embauche qui convaincra le recruteur.
Le salaire de traducteur.rice
L'expérience, le niveau de diplôme et le type de l'employeur et du secteur d'activité vont influencer la rémunération du traducteur. En moyenne, un.e traducteur.trice perçoit annuellement un salaire de 32.500 euros bruts.
3. Interprète
L'interprétariat fait partie des métiers avec les langues qui ouvrent l'accès à des carrières dans la fonction publique, le monde associatif et le secteur privé. En raison de leurs connaissances approfondies des langues et des cultures, les interprètes sont activement recherchés dans les domaines de l'événementiel, du monde médical, du juridique, etc…
L'interprète traduit oralement des discours, des textes en les replaçant dans leurs contextes, sans oublier d'y ajouter les nuances, les subtilités, l'intonation de l'auteur. Il peut aussi s'agir d'interpréter la langue des signes et y incluant l'humanité de la personne « s'exprimant » dans cette langue.
Que fait l’interprète au quotidien ?
L'interprétariat s'exerce en indépendant, dans une agence ou une organisation internationale. Cet art du langage se réalisant le plus souvent en simultanée, il requiert beaucoup de concentration et une réelle expérience. L'interprète doit notamment :
- Transposer le discours dans le respect des codes linguistiques d'une langue étrangère ;
- Préparer son intervention en s'appuyant sur le texte fournit par l'auteur ;
- Vérifier les termes techniques auprès des auteurs ou d'autres sources ;
- S'informer du contexte économique, social, culturel ou politique dans lequel s'inscrit le discours.
Les études d’interprétariat
Plusieurs formations à l'interprétariat sont proposées par des universités, des instituts ainsi que deux écoles spécialisées. Une formation Bac +5 est le plus souvent exigée : il peut s'agir d'un Master ou d'un Titre en interprétation de conférence ou de liaison. Par ailleurs, une formation technique ou une précédente expérience professionnelle permet des spécialisations en interprétariat : aéronautique, médecine, économie, etc…
Le salaire moyen des interprètes
Le salaire annuel moyen d'un interprète dans le secteur privé ou associatif est évalué à 22.500 euros bruts. Ce montant est complété par une part variable qui se compose de primes et de bonus. L'expérience, la spécialisation et le niveau de diplôme font varier ces montants. Lorsque l'interprète est fonctionnaire, il perçoit un traitement mensuel de 1.750 euros bruts pour un exercice à taux plein.
4. Guide conférencier.ère
La passion pour une science, un domaine d'activité ou une région ; un don naturel pour la communication et la pédagogie ; le plaisir du contact avec un public : ces trois qualités sont celles du/de la guide conférencier.ère, cet autre métier dans les langues étrangères qui rend heureux.
Où travaille et que fait le guide conférencier ?
Cette profession peut s'exercer dans le cadre d'un CDI, d'un CDD, voire le temps d'un emploi saisonnier. Elle s'exerce au sein d'un office du tourisme, d'un musée, d'un monument ou dans le cadre d'activité en plein air. Le guide conférencier fait découvrir l'objet de sa passion aux touristes et aux visiteurs étrangers. Lorsqu'il exerce son art à l'occasion de circuits de découvertes, il prend souvent part à l'organisation du tour.
Les formations du guide conférencier
En plus d'une excellente culture générale et d'une connaissance approfondie du sujet ou de l'objet de la conférence, ce professionnel doit être en possession de la carte professionnelle de guide-conférencier, laquelle s'obtient de deux manières :
- Une licence professionnelle mention « développement et protection du patrimoine culturel - guide conférencier » ;
- Un Master dans une discipline quelconque associé à 3 formations complémentaires : guide-interprète, mise en situation et pratique professionnelle, langue vivante étrangère.
Le salaire de guide
Lorsque la profession est exercée à temps plein dans le cadre d'une activité salariée, le revenu annuel moyen d'un guide-conférencier s'élève à 21.000 euros bruts. S'y ajoutent des primes, des bonus ainsi que des pourboires.
5. Doubleur de voix
Devenir un comédien célèbre en utilisant la maîtrise d'une langue étrangère est le destin du « doubleur de voix ». Cet artiste ne se contente pas de traduire des dialogues ; il leur donne vie par ses inflexions, par ses pauses et ses émotions. Ce métier dans les langues étrangères est indispensable pour le doublage de films, les publicités radios, les bandes-annonces en langues étrangères, etc…
Ce professionnel est un artistique à part entière, bien qu'il ne fasse jamais face à la caméra, ni au public. Par la seule magie de sa voix, il fait passer des émotions. Pour décrocher un emploi dans ce domaine, nul besoin de diplôme particulier. Tout le monde a sa chance après avoir suivi une formation auprès d'une école d'art dramatique ou de théâtre.
Le revenu d'un doubleur de voix dépend des prestations fournies, ce professionnel étant payé au cachet. Le salaire minimal de ces artistes-interprètes est déterminé dans le cadre de l'accord national des professionnels du doublage.
6. Concierge en hôtel
Le concierge en hôtel est un peu le « magicien » de l'hôtel : presque rien ne lui est impossible. Qu'il s'agisse d'effectuer des réservations de restaurant ou de billets d'avion, de trouver le dernier ticket pour une soirée ou bien un tailleur pour arranger un costume, il suffit aux clients de se diriger vers le porteur de la « clef d'or ».
La reprise de l'activité du tourisme international a redonné tout son dynamisme au marché de l'emploi pour ce métier dans les langues. Les opportunités professionnelles sont d'autant plus nombreuses que le secteur de l'hôtellerie connaît une pénurie endémique de candidats.
Que fait le concierge d’hôtel ?
Les fonctions d'un concierge sont des plus diverses. Ce professionnel :
- Fait préparer la chambre du client en fonction des souhaits exprimés lors de la réservation ;
- Organise tous les détails du séjour selon les instructions du client ;
- Informe et conseille la clientèle ;
- S'occupe de la prise de rendez-vous chez les coiffeurs et autres prestataires de services ;
- Veille à ce que les taxis soient disponibles au moment désiré par les clients ;
- Effectue les réservations de spectacle, de location de voiture, de billets d'avion, etc…
Les études et formations du concierge en hôtellerie
La première des exigences pour postuler ce métier est la maîtrise d'une ou de plusieurs langues étrangères selon la catégorie de l'hôtel. Il faut également disposer a minima d'une formation professionnelle d'établissement (FPE) mention « concierge » ou d'un CAP « commercialisation et services ». L'accès aux hôtels prestigieux est le plus souvent accordé au détenteur d'un bachelor « luxury hotel management » ou d'une licence « tourisme parcours conciergerie ».
La question du salaire
Concierge d'hôtel fait partie des métiers dans les langues bien payés. En effet, bien que la rémunération mensuelle moyenne de ce professionnel soit de 2.000 euros bruts, il faut y ajouter les primes et les bonus dont les montants varient en fonction de l'ancienneté, de l'expérience et du diplôme. Enfin, le concierge d'hôtel est également le destinataire de pourboires.
7. Chef.fe d'escale
Que fait le chef d’escale au quotidien ?
L'autre métier dans les langues dédié à la prise en charge de clients est celui du/de la chef.fe d'escale. Encadrant diverses équipes, ce professionnel supervise l'ensemble des services techniques et commerciaux associés à l'arrivée et au départ des passagers, sans oublier la logistique. Ainsi, le/la chef.fe d'escale :
- Coordonne l'intervention des équipes techniques à l'arrivée et au départ des passagers ;
- Veille au débarquement/embarquement des bagages et du fret dans les avions ;
- S'assurer du respect des règles de sécurité ;
- Fait intervenir les services de maintenance et de nettoyage ;
- Travaille en étroite coopération avec le contrôle aérien ;
- Organise le ravitaillement de l'avion ;
- Gère le budget de son service ;
- Négocie les contrats avec les prestataires ;
- Recrute, dirige et participe à la formation des équipes.
Aptitudes et formations demandées
La maîtrise de l'anglais est indispensable pour exercer cette fonction. Il faut en outre posséder un diplôme délivré par une école de commerce, un Master professionnel « management du transport aérien » ou « transport et logistique industrielle et commerciale », ou bien réussir le concours de Technicien Supérieur de l'Aviation (TSA).
Le salaire du chef d’escale
Le montant de la rémunération varie en fonction de la politique salariale de la compagnie aérienne, de l'ancienneté et du diplôme. L'expérience du candidat constitue également un atout lors de la négociation salariale. Un.e chef.fe d'escale perçoit un revenu annuel médian de 23.000 euros bruts, sans compter les primes et les bonus.
8. Agent de réservation touristique
La France est la première destination touristique du monde. C'est pourquoi des visiteurs des 5 continents font appel aux agents de réservation touristique pour préparer leurs séjours dans l'hexagone. Il en va de même pour les touristes français se rendant à l'étranger.
Aussi, l'activité ne manque-t-elle pas pour les professionnels exerçant ce métier dans les langues étrangères dans les hôtels et les agences de voyage.
Que fait l’agent de réservation ?
Se trouvant au carrefour du tourisme et du commercial, l'agent de réservation ne s'ennuie jamais, tant ses missions sont différentes. Que ce soit par téléphone ou par l'ordinateur, cet agent :
- Propose des services sur-mesure aux clients à l'occasion de leurs séjours ;
- Analyse des bases de données relatives aux activités du tourisme, des loisirs ou d'hébergement ;
- Négocie les tarifs avec les prestataires, les tour-opérateurs et les hôtels ;
- Veille au suivi des dossiers ;
- Adapte ses interactions avec les clients en fonction de leurs cultures.
Compétences et formations de l’agent de réservation
Les passionné.es des langues étrangères, du commerce et du tourisme peuvent postuler ce métier avec un Bac professionnel « métiers de l'accueil », « service aux personnes et animation dans les territoires » ou « assistance à la gestion des organisations et de leurs activités ». Le titre professionnel de conseiller en séjours est également un atout. Des formations de niveau Bac +2 et Bac +3 multiplient les chances de décrocher un emploi.
Le salaire d’agent de réservation touristique
Un agent de réservation touristique perçoit en moyenne 23.900 euros bruts par an. Les primes et les bonus versés en fonction des objectifs s'ajoutent à cette rémunération. Il faut également tenir compte des variations salariales en fonction des régions, de l'ancienneté et du diplôme.
9. Responsable déplacement - travel manager
Le rôle du travel manager est très proche de celui de l'agent de réservation touristique. La principale différence est que ce responsable de voyage est salarié d'une entreprise et s'occupe des déplacements professionnels du personnel.
Que fait un travel manager, en bref ?
Le plus souvent rattaché au département RH ou des achats, le travel manager définit les procédures que doivent suivre les salariés de l'entreprise lors de leurs déplacements, notamment à l'étranger.
Il rédige les ordres de mission, gère les visas, les notes de frais ainsi que les réservations. Ce professionnel doit également négocier les appels d'offres auprès des compagnies aériennes et des prestataires de voyage.
Les compétences et études pour devenir travel manager
Il est indispensable d'être polyglotte pour exercer ce métier dans les langues étrangères. Il faut, en outre, disposer d'un diplôme Bac +2 ou +3 dans le commerce ou le tourisme. Les candidats disposant d'une précédente expérience dans une agence de voyage ou dans le tourisme ont les faveurs des recruteurs.
Quel salaire pour cette profession ?
Le salaire annuel médian d'un responsable des déplacements se situe à 26.500 euros bruts. Bien entendu, la taille de l'entreprise, l'ancienneté et les diplômes influencent le montant du salaire fixe. Ce dernier est complété par une part variable comportant diverses primes et bonus, en plus de certains avantages en nature.
10. Commercial exportation
En raison de la globalisation du commerce, les professions de l'export offrent d'innombrables opportunités pour exercer un métier dans les langues étrangères. Le commercial spécialisé dans l'exportation est l'une de ces professions.
Que fait le commercial exportation ?
Qu'il soit spécialisé dans la vente de produits de grande consommation ou dans des services d'une grande technicité, il doit maximiser les ventes dans une zone géographique déterminée.
Pour atteindre ses objectifs, ce professionnel doit tout d'abord avoir une bonne connaissance des marchés, des cultures et des langues parlées dans un marché. Ses responsabilités consistent à :
- Prospecter de nouveaux clients à partir d'une base de données constituée par le service du data ;
- Animer un réseau de distributeurs locaux et s'assurer qu'ils appliquent la stratégie commerciale de l'entreprise dans le pays de destination ;
- Prendre contact avec les clients de son portfolio, s'informer de leurs degrés de satisfaction et leur présenter des nouveaux produits/services ;
- Analyser les tendances commerciales dans le secteur géographique attribué ;
- Etablir les cahiers des charges ;
- Négocier les contrats et veiller à leurs applications
Les diplômes du commercial en exportation
Cette profession est accessible avec un BTS ou un BUT « commerce international », « conseil et commercialisation de solutions techniques » ou « techniques de commercialisation ». Les formations délivrées par les écoles de commerce ou de management sont souvent privilégiées par les recruteurs.
Quelle que soit la formation du candidat, une expérience professionnelle ou de vie dans la zone géographique considérée est une garantie de succès lors d'un entretien d'embauche.
Quel salaire dans l’export ?
Parmi les métiers dans les langues bien payés, celui du commercial à l'export figure dans les premières positions. Le commercial export dispose d'un revenu moyen de 40.000 euros bruts par an. Il faut y ajouter les primes diverses, telles les primes sur objectifs et de déplacement, ainsi que des bonus.
Trouvez rapidement le métier pour vivre votre passion pour les langues
La maîtrise d'une ou de plusieurs langues étrangères a attisé votre envie de rejoindre une « tour de Babel » professionnelle où se mélangent les cultures et les savoirs.
Vivez pleinement votre passion pour les langues en vous faisant connaître des recruteurs. D'un simple clic, partagez gratuitement votre CV dans notre CVthèque et laissez des centaines d'employeurs découvrir vos talents.